Rachel Grant Terminé

Rachel Grant

Identité

► Prénom(s) - Rachel
► Nom(s) - Grant
► Âge - 27 ans
► Origine - Atlanta
► Statut - Vagabond pour le moment
► Situation - Célibataire
► Nationalité - Américaine
► Ancienne fonction - Ancienne agent de récupération. (Plus communément appelé chasseur de primes)
►Atouts de survie - Etant une ancienne chasseuse de primes, elle possède d'assez bonnes notions dans la maîtrise de l'art du combat à mains nues mais elle n'aime pas vraiment le combat au corps à corps, préférant neutraliser ses "proies" toujours de loin. C'est moins risqué, surtout lorsque la plupart de ses contrats concerne des hommes. Elle travaillait très bien toute seule, mais à présent, ses préférences ont changé. Demeurer seul par les temps qui courent c'est plutôt du suicide. Elle utilise un fusil semi-automatique ainsi qu'un tomahawk amérindien. Elle a une trouille bleue de l'eau (mer, lacs, rivières, piscines) depuis le jour où elle est s'est noyée lorsqu'elle était enfant. Heureusement, elle a été sauvé, mais cet épisode a laissé une trace indélébile en elle. Quant à sa manière d'appréhender les zombies...un bon zombie est un zombie mort. C'est assez clair?

Personnalité

Entendons-nous bien, il y a eu un avant et un après concernant le mental de la jeune femme. Si certains points de sa psyché ont changée d'autres sont restés les mêmes. Rachel n'a jamais été ce genre d'oiseau que l'on pouvait mettre en cage facilement. C'est une jeune femme intrépide qui a toujours aimé l'aventure et les grands espaces. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle n'a pas cherché à exercer un métier conventionnel. C'est un vrai courant d'air bourré de malice et d'énergie. Intrépide amazone, elle ne faisait que rarement partie de la masse ou dominer par qui que ce soit.

C'est une frondeuse qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Néanmoins, elle ne cherche pas forcément la bagarre, elle ne cautionne d'ailleurs jamais la violence. Si dans son ancien métier et par les temps actuels elle est obligée de "mordre avant de ce faire mordre", Rachel n'aime pas la violence gratuite. Avant, la belle était très indépendante et n'aimait pas du tout faire partie d'une équipe. Cette seule idée la rebutait. Car elle n'a jamais été quelqu'un qui suit les autres. Si elle avait une idée en tête, elle voulait la suivre et faire les choses à sa façon. Mais à présent que les morts ne sont plus vraiment morts et que le monde marche sur la tête, Rachel a changé son fusil d'épaule.

Par la force des choses, la jeune femme a mûrie et a pris conscience qu'elle ne survivrait pas seule, surtout avec un enfant avec elle, qu'il lui fallait trouver un groupe et au plus vite. Elle s'est rendu compte que dans ce nouveau monde, l'union faisait la force. Elle a donc grandement mit de l'eau dans son vin et recouvert le tout d'un mouchoir. Par contre, Rachel n'est toujours pas devenu un "mouton de Panurge". Si cette dernière trouve un ordre complètement illogique et suicidaire, elle ne se retiendra pas pour dire ce qu'elle pense.

Les temps sont durs et afin de survivre, la jeune femme peut agir de manière égoïste et agressive. Mais ce n'est qu'en réponse à mon monde qui l'est tout autant. Ce qu'il faut savoir, c'est que Rachel n'est pas qu'une rose pleine d'épines. C'est une femme qui peut s'avérer être aussi douce qu'une étoffe de soie, qui sait écouter, qui sait faire preuve d'une très grande empathie. Elle est à la fois aimante et guerrière, prêt à se sacrifier pour ceux qu'elle aime et surtout pour son petit frère Colin. Quiconque s'aventurerait à lui faire du mal, de n'importe quelle façon finira avec un coup de hache en pleine tête. La jeune femme a toujours été extrêmement protectrice vis-à-vis de lui et prend son devoir de grande soeur au sérieux.

Physique

Rachel a hérité des traits hispaniques de sa mère. C'est un "beau petit lot" disaient ses collègues de travail. D'un point de vue général, Rachel n'est pas très grande, elle mesure 1m69 pour un pour un poids de 56 kilos. Mais ce poids est sûrement revue à la baisse étant donné qu'elle ne mange plus comme avant. -Rationnement oblige-. Sa carrure est plutôt fine mais athlétique. Ses heures d'entraînement physique et son mode de vie lui ont permis de se bâtir un corps ferme et endurant. Ses yeux sont d'une couleur chocolat sombre, variant avec l'intensité de la lumière. Ses cheveux eux, sont bruns à l'origine, mais la belle ce les teignaient pour les éclaircir un peu plus. Ils sont assez longs, lui arrivant plus bas que les omoplates.

Sa peau est claire en hivers, mais très bronzée en été. Pour en revenir à sa carrure, cela lui permet de pouvoir courir, faire preuve d'endurance. Elle peut également se hisser facilement, se glisser dans des endroits assez étroits. Par contre, elle n'a jamais été grosse et n'a donc que peu de réserves graisseuses. Cela peut au fil du temps devenir un désavantage sur ses dépenses caloriques deviennent plus importantes que le stockage. C'est une jeune femme qui, malgré son tempérament, est devenue coquette. Elle ne cracherait pas sur un bon bain moussant, de la crème hydratante, un peu de maquillage. Un peu de superficialité n'a jamais tué personne! Finalement, elle est très féminine même si maintenant elle n'a que peu de vêtements.

Biographie

"Où est-il? Mais où est-ce qu'il est bon sang!?"

Des pensées de désespoirs me glace le sang tandis que je cherche mon petit frère adoré. J'ai été trop longtemps trop loin de lui et j'ai négligé mon devoir de grande soeur, d'aînée. Et maintenant je le regrettais amèrement, à présent que le chaos régnait ici. Mais j'avais toujours été comme ça, attiré par les grands espaces, attiré par l'aventure et les choses qui n'étaient pas communes.

Je suis née dans une famille des plus classique à Atlanta. Mes parents étaient tous deux de gentilles personnes qui travaillaient pour terminer de payer notre petite maison, ils se sont mariés très jeune et ma mère m'a eut lorsqu'elle avait 18 ans. Les temps n'ont pas toujours été simple, mais on s'arrangeait toujours pour que je ne manque de rien. Ma mère était institutrice et s'occupait d'enfants de cours moyen. Mon père tenait un petit garage sans prétention aucune. On allait à l'église le dimanche, on organisait des petits repas avec nos voisins, bref, le parfait cliché de la famille américaine. Il ne manquait plus que le chien et tout y était. Sauf que ma mère n'avait jamais voulu que l'on ait de chien...elle en avait peur.

Je me souviens seulement d'une petite gerbille que j'avais appelé Sabrina et...qui avait malheureusement disparut un jour où par mégarde, j'avais laissé la porte de sa cage ouverte...un vrai traumatisme pour moi! J'étais assez proche de mes parents mais ils me répétaient souvent que je ne me comportais pas comme une fille normale. Je n'avais jamais aimé jouer à la poupée, je n'ai jamais voulu enfiler un tutu de danseuse de toute ma vie. Je préférais jouer aux policiers et aux voleurs...avec les garçons du quartier. Un vrai garçon manqué je dois dire.

A l'école c'était pareil, je préférais m'amuser et trainer avec les mecs plutôt que les filles. Parce que les filles je les trouvais chiante à mourir, tout le temps en train de parler chiffon, dinette et plus tard make up et garçon. J'avais plutôt de bons résultats à l'école et mon père me disait que je pourrai devenir médecin. Manque de bol, moi je voulais être flic.

A 18 ans, ma mère m'annonça qu'elle attendait un heureux évènement. Je ne cache pas qu'au départ, j'étais assez choqué. Parce que mes parents n'avaient plus vingt ans et que la différence d'âge entre moi et le bébé serait énorme. Mais finalement, sa grossesse fut plutôt providentielle car elle me ressouda un peu avec ma famille. J'étais encore en pleine crise d'adolescence et j'étais imbuvable. Mais l'idée de devenir grande soeur avait finie par m'enchanter.

Lorsque mon petit frère, Colin, vint au monde, je crois que c'était un des plus beaux jours de ma vie. C'était un beau bébé, avec des cheveux foncés et de grands yeux bleus. Tout le portrait de mon père en fait. Je me suis alors découvert une sorte de "fibre maternelle". J'aidais beaucoup ma mère, donnant le biberon quand il le fallait, le changeant, tournant en rond pendant des heures en le berçant pour qu'il s'endorme...je voulais que ma mère puisse se reposer.

Le temps passa et il arriva un âge où je devais choisir mon avenir. Pour mes parents, c'était vite choisi! Médecin et rien d'autre. J'étais très bonne en matière scientifiques et biologiques. Mais moi, je ne voulais pas passer ma vie à côtoyer les gens malades. Pardon pour eux, mais je n'étais pas du tout à l'aise avec les gens malades et j'étais bien trop "brute de décoffrage" pour pouvoir supporter les plaintes, la tristesse et la mort. Je voulais être flic!

Mes parents ne furent pas du tout d'accord mais j'avais toujours été une gamine intrépide qu'on ne pouvait faire changer d'avis. Après avoir passé les examens requis, j'entrai à l'école de police et en ressortais assermenté. J'ai quitté la maison ainsi que mon petit frère adoré puis j'ai loué un appartement toujours à Atlanta. Et puis au bout d'un an, grosse désillusion. Le boulot de flic m'ennuyait à mourir, ce n'était pas ce que j'attendais. J'avais été confronté à la corruption, au machisme et à l'intolérance. Très peu pour moi...obéir à des cons n'avait jamais été dans mes intentions.

Juste avant de démissionner, j'ai rencontré un type qui s'appelait Vince Korsoff. Un russe qui nous avait ramené un fugitif que l'on cherchait depuis des mois sans résultat. Il n'était pas flic et encore moins détective privé mais "Agent de récupération". C'était le nom que l'on donnait aux chasseurs de primes. Je décidais de le suivre un soir et il me parla un peu de son boulot autour d'un café et de quelques beignets -clichés-. J'ai appris qu'il faisait partie d'une agence qui comptait deux autres agents de récupération. Il me disait que ce qu'il faisait n'était pas facile parce que ce qu'il faisait n'était pas reconnu comme étant un métier. Et que ses revenus dépendait de ses primes. Mais qu'en contre-partie, son mode de vie lui apportait l'action et le frisson qu'il cherchait.

Quelques semaines plus tard, je rendais ma plaque et décidais de suivre les traces de Vince. J'avais des facilités, car j'avais été formé au combat et je connaissais les lois en vigueur grâce à ce que j'avais appris à l'école de police. Quand j'ai parlé de mes projets à mes parents...j'ai pu lire la déception dans leur yeux. Mais Colin lui, me disait dans son langage de gamin, qu'il était content que "j'arrête les méchants". Comme je l'aimais ce petit bout de choux avec ses dents de laits fraichement tombées. Il allait me manquer...car je savais que je ne le reverrais pas de si tôt.

J'ai donc rejoint l'agence de Vince et je suis devenu également un Agent de récupération. Mes contrats me menèrent un peu partout en Amérique du Nord, j'allais parfois jusqu'au Mexique. On peut dire que cette vie de périple et d'aventure m'avait changé. J'ai essuyé pas mal de coups durs, eut très peur pour ma vie parfois. Mais j'aimais ça et cela me rapportait un petit paquet d'argent à chaque bonne prise.

Et puis il y a eu l'arrivée de cette mystérieuse épidémie. Un cas...deux cas...je me disais que c'était une nouvelle saloperie du même acabits que la grippe porcine. Mais...après j'ai entendu dire que les malades mourraient en masse. Là j'ai commencé à m'inquiéter. J'étais dans l'Ouest lorsque tout ça a commencé à arriver. Et puis j'ai vu que des militaires commençaient à être un peu trop présent à mon goût. Cela m'a mis la puce à l'oreille et j'ai décidé de repartir pour Atlanta. La situation commençait à vraiment m'inquiéter, je voyais de plus en plus de gens fuir en voiture dans la même direction.

Au bout d'un temps, je me suis retrouvé complètement bloqué par un immense carambolage quelques kilomètres avant d'arriver à Atlanta chez mes parents. J'étais morte d'inquiétude, qu'est-ce qui pouvait bien arriver? J'ai donc abandonné mon véhicule et j'ai préparé un sac de survie ainsi que mes armes et j'ai continué d'avancer. Je ne devais pas m'arrêter! J'entendais des gens autour de moi, bloqués également qui cédaient à la panique, parlant de morts qui attaquaient et dévoraient les vivants. Qu'est-ce que c'était que ce délire? J'ai mis une bonne journée avant d'arriver enfin à Atlanta et ce que j'y ai vu me glaça le sang.

On aurait dit qu'une guerre avait éclaté. Il y avait des immeubles en flammes, des gens qui hurlaient, couraient et des cadavres déchiquetés sur le sol. Quand j'ai vue ça, l'image de Colin et de mes parents m'apparaissais. Je ne devais pas trainer. Et puis en chemin, c'est là que je suis tombé sur eux. Les cadavres ambulants dont tout le monde parlait. J'avais pris ça pour des délires attribués à la panique mais...quand j'ai vue cette femme marcher avec les tripes à l'air et un bras en moins, j'ai renoncé à nier l'évidence. Ils étaient trois et m'avaient repérés. J'ai alors commencé à tirer dans les jambes, mais ils continuaient d'avancer. Le ventre et le thorax? Le résultat n'était guère mieux. Et en désespoir de cause, j'ai visé la tête. Bingo, la...chose visée s'écroula par terre et ne se releva pas. J'ai exécuté les deux autres de la même manière et j'ai continué ma route jusqu'à chez moi.

Voilà où je suis à présent...chez moi...ou plutôt ce qu'il en reste. Car c'est un vrai champ de ruine. Il y a des traînées et des empruntes de sang partout sur le sol, les murs, les tiroirs. J'essaie de me faire discrète pour ne pas alerter une nouvelle menace. Je tremble...pour la première fois j'ai peur. J'ai tellement peur que je sens la bile me monter aux lèvres. Où sont mes parents? Où est mon petit frère? Seigneur Dieu, faites qu'ils soient sains et saufs.

"Colin? Maman? Papa?"

Je murmurais ces mots pour qu'ils puissent m'entendre. Mais rien...pas un son...pas un bruit. C'était dingue, j'avais l'impression que malgré ce silence m'assourdissait. Je me dirigeais vers la cuisine et j'entends un bruit provenant du placard sous l'évier J'ai pointé mon arme et j'ai prudemment ouvert la porte. Quand j'ai découvert qui il y avait à l'intérieur, j'ai failli pleurer tellement j'étais soulagée. C'était Colin, il était recroquevillé là-dessous entre les produits ménagés. Il avait l'air vraiment choqué et...il était prostré. Mon pauvre petit bébé. Je m'en voulais tellement de ne pas avoir été là avant. Je l'ai alors pris dans mes bras et porté pour l'emmener loin d'ici.

"Où sont papa et maman?"

Le petit m'a regardé, tout blême et pâle qu'il était. De sa petite voix il a murmuré qu'ils étaient devenus des monstres. J'ai hoqueté d'horreur et j'ai entendu des bruits provenant de la chambre de mon fréro. J'ai alors reposé Colin dans sa cachette et je lui ai demandé d'attendre et de se boucher les oreilles. Je lui assurais que j'allais revenir le chercher mais qu'il ne devait pas faire un seul bruit. Je me suis dirigé vers la chambre de Colin et c'est là que j'ai été confronté à...l'ignoble vérité. Une odeur de mort trônait dans la pièce...une odeur de chair en décomposition...une odeur que je connaissais bien. Il y avait mes parents dans cette pièce. Et ils n'avaient plus rien d'humain, leur regard était vitreux et des râles d'outre-tombes sortaient de leurs cordes vocales putrides. J'ai fondu en larmes. Mais je n'ai pas eu le temps de m'apitoyer sur mon sort, car mes chers parents étaient déjà en train de fondre sur moi, prêt à vouloir me dévorer.

J'ai tiré deux fois. Et les deux corps sont tombés...retrouvant leur état de cadavre. J'ai eu un terrible moment de panique. J'avais tué mes parents...tué nos parents. Ceux qui nous avaient élevé et aimé. Mais pas le temps de rester prostré, j'ai préparé un autre sac et j'ai mis quelques vêtements pour mon frère ainsi que des provisions, de l'eau et je suis allée le récupérer sous l'évier.

"On s'en va Colin."

Je l'agrippais par la main et l'emmenait loin de cette ville où qui regorgeait de danger. C'est ainsi que mon petit frère et noir avons été jeté sur les routes. J'essaie de tout faire pour le garder en bonne santé, il est la dernière famille que je possède. Pour le moment ont survie tous les deux tant bien que mal mais...je ne sais pas combien de temps encore nous pourrons continuer. J'aimerais trouver un groupe de survivant et nous greffer sur lui. Car nos provisions et nos munitions s'amenuisent de jours en jours. J'essaie de garder le sourire et le moral pour Colin, mais je sens que mes nerfs sont presque sur le point de lâcher.

Présentation du joueur

►Pseudo - Clarice
► Âge - 23 ans
► Passions ? - Le RP, la lecture, l'écriture, le dessin, la musique, le tir à l'arc.
► Département - 77
► Parrainage ? - Non
► Code du réglement - Validé par MDJ.

Bienvenue à toi !

Malheureusement le forum n'est pas encore ouvert ( il le sera sous peu )
je te laisse terminer t'a fiche quand même (Elle sera juste validée à l'ouverture) :)

Bon courage !

Merci pour ton accueil Lizzel ♥ ^^

Infos de baseMessages envoyés : 99 Date d'inscription : 08/08/2014

Alors je vais m'occuper de ta fiche.

Bon tout d'abord ta fiche est agréable à lire et elle est très détaillée !!

Juste un petit soucis :

Rachel Grant a écrit:: Ma mère était institutrice et s'occupait d'enfant allant du CP au CM1.

Le système éducatif des Etat Unis est légèrement différent du nôtre, il fonctionne ici par section tel que :
1st Grade : cours préparatoire (CP), 6-7 ans.
2nd Grade: cours élémentaire (CE1), 7-8 ans.
3rd Grade :cours élémentaire (CE2), 8-9 ans.
4th Grade : cours moyen (CM1), 9-10 ans.
5th Grade : cours moyen( CM2),10-11 ans.
La mère de Rachel serait donc une institutrice de cours moyen. (Englobant de cette manière le premier grade au cinquième.)

Voilà j'ai changé ^^

Infos de baseMessages envoyés : 99 Date d'inscription : 08/08/2014

Fiche Validé

Félicitation te voilà validé ! N'oublie pas de passer lire : L'Encyclopédie de l'univers,. Tu peut désormais créer t'es fiches liens et ton répertoire rp ! Si tu as des questions, le staff est là pour y répondre. Bon jeux et amuse toi bien !

» Daryl Dixon Terminé
» Samia Wayland Terminé
» Colin Grant Terminé
» Une drôle de rencontre qui ne laissera personnes indifférent (Rachel, Colin Grant & Sam Wayland)
» Beth Greene Terminé

Rachel Grant Terminé

Rachel Grant Terminé

Sujets similaires

Sujets similaires